Dans le cadre d’une future exposition consacrée au Prince Ferdinand-Philippe d’Orléans au musée Ingres-Bourdelle à Montauban, Hervé Manis a restauré cette statue du fils aîné du Roi Louis-Philippe.
Restauration d’une statue du Prince Ferdinand-Philippe d’Orléans
34 Comments
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11 janvier 2021 @ 02:48
Je ne sais pas grand chose de lui ?
Ni sa taille, grand ? Petit ?
Ni sur son visage ?
À part qu’il avait une belle silhouette.
11 janvier 2021 @ 02:50
Dimension ? J’aime bien voir avant / après ! OK,je suis exigeante !
De loin , il me fait penser au Prince impérial !
11 janvier 2021 @ 03:45
Il me fait penser à un personnage de Miyazaki… Il avait de très beaux traits.
11 janvier 2021 @ 05:33
On voit bien la fonction sculptante du corset porté par les hommes au XIX ème siècle .
11 janvier 2021 @ 18:46
Baboula, super 👏👍votre nouvelle couleur
très flash .😉🌟
12 janvier 2021 @ 14:15
La mer au large de Panama il y a trois ans.J’ai des envies de soleil !
12 janvier 2021 @ 17:08
Super ! 🌞🏝
12 janvier 2021 @ 18:17
J’ai plein de soleil chez moi . De la neige aussi . Pas de mer turquoise . Des lacs bleus , ou gelés .
11 janvier 2021 @ 08:30
Ce prince fut vraiment le prince idéal: beau, intelligent, bon fils, mari et père.
Sa mort, d’un accident de calèche Porte Maillot, fut un drame pour sa famille bien sûr mais surtout pour la monarchie. Libéral et ouvert, il était parfait pour que la monarchie accompagne la France en plein transformation du XIXeme siècle. Son frère le duc d’Aumale montrera lui aussi cette grande intelligence des circonstances.
Au moment du départ de Louis Philippe en 1848, le 2ème fils susceptible de prendre la Régence du petit comte de Paris, le duc de Nemours n’avait rien de cela, assez étroit d’esprit et sans charisme.
Le duc d’Orleans est assez méconnu. On en avait parlé il y a quelques années quand Axa avait acheté en mécénat un très beau portrait d’Ingres pour Le Louvre..
Belle journée
Rose
11 janvier 2021 @ 12:21
Nemours était parti avec la famille royale et avait quitté Paris. C’est la duchesse d’Orléans qui réclama la régence avec le sucés que l’on sait.
12 janvier 2021 @ 21:07
Non Nemours avait accompagné sa belle-sœur à l’Assemblée.
11 janvier 2021 @ 11:38
Superbe statue d’un prince élégant qui a beaucoup de classe.
11 janvier 2021 @ 13:17
Je pense qu’effectivement , la monarchie a beaucoup perdu avec ce prince . La statue est très réussie .
11 janvier 2021 @ 13:04
Une biographie du Prince Royal est paru en 1995 chez Perrin sous le titre « Lespoir brisé, le Duc d’Orléans, 1810-1842 » par Joëlle Hureau, docteur en histoire.
11 janvier 2021 @ 13:24
Les fils de Louis-Philippe et de la reine Amélie étaient tous beaux, élégants , fonceurs voire aventuriers , mes préférés de l’Histoire de France
11 janvier 2021 @ 19:24
Un vrai sujet de série TV , au fait Ghislaine GLP ?
12 janvier 2021 @ 13:59
oui pourquoi pas Françoise ce serait passionnant comme leur vie !
11 janvier 2021 @ 20:03
Moi aussi ! Surtout le duc d’Aumale pour moi. Un peu moins Nemours et Montpensier.
Les filles aussi étaient brillantes : Louise l’aînée était reine des Belges, Marie était une sculptrice reconnue (il me semble que la Jeanne d’Arc d’Orleans est une de ses oeuvres, pas certaine..) et Clémentine était surnommée La Médicis de Cobourg (très ambitieuse, elle avait réussi à placer son fils Ferdinand sur le trône de Bulgarie).
11 janvier 2021 @ 23:13
Si on voit cette belle petite statue d’ une grande finesse sur la table, pourrais- je supposer qu’ elle mesure 45 cm de haut ?
13 janvier 2021 @ 11:27
Caroline,
Vous avez le compas dans l’oeil, cette statue fait environ 48 cm de haut.
13 janvier 2021 @ 14:01
Charles,
👀👀👀👀👀👀👀👀👀👀👀👀
Merci pour votre réponse !
11 janvier 2021 @ 17:12
Raide et sans âme.
11 janvier 2021 @ 18:02
Vous savez sûrement qu’après la mort du prince Ferdinand Philippe, la reine Amélie fit construire sur le lieu même de l’accident une chapelle dédiée à Notre-Dame de Compassion. Pour la décoration le peintre Ary Scheffer, très lié au prince et à sa famille, fut consulté. Les vitraux représentant les saints patrons de la famille, saint Philippe, sainte Amélie et saint Ferdinand, furent fabriqués par la manufacture de Sèvres sur des cartons d’Ingres. Déplacée lors de la construction du Palais des Congrès, cette chapelle dite de Notre-Dame de la Compassion, se trouve actuellement place des Ternes à Paris.
11 janvier 2021 @ 18:05
non, elle se trouve place du Général Koenig, Porte des Ternes
12 janvier 2021 @ 14:20
Nous en avons déjà âprement discuté .
12 janvier 2021 @ 17:17
Le sujet a été traité en 2009 d’après mes recherches mais je l’ignorais, n’ayant découvert ce site que récemment.
13 janvier 2021 @ 14:29
Bravo ! C’est un travail de bénédictin .
11 janvier 2021 @ 21:09
Désolé « est parue » avec un « e »…
12 janvier 2021 @ 10:23
Je me demande comment les hommes faisaient pour marcher à l’époque avec des chaussures si fines et si étroites…
12 janvier 2021 @ 13:48
Je n’aime pas beaucoup les gypsothèques, même si de temps en temps je fais un arrêt au Tadolini à Rome pour une petite pause café aux milieu des plâtres de Canova qui eux au moins sont expressifs.
12 janvier 2021 @ 17:41
Cette statue fut à Louis Alexandre Tardif (1797-1877), inspecteur et administrateur du Domaine de Montpensier au château de Randan, puis à ses descendants.
Il s’agit d’un petit moulage en plâtre réalisé en 1842 par Jean-Auguste Barre (1811-1896), sculpteur et médailleur français qui mena une carrière officielle pour le roi Louis-Philippe Ier et Napoléon III. Ce portrait en pied et en uniforme de Ferdinand Philippe duc d’Orléans (1810-1842), fils de Louis-Philippe Ier et prince royal des Français, met en valeur sa brillante carrière militaire, sa sveltesse et son élégance. Il est représenté dans l’attitude du célèbre portrait d’Ingres, et faisait d’ailleurs partie de la collection d’Ingres.
Il existe un exemplaire en bronze.
12 janvier 2021 @ 17:47
La statuette en bronze de 1843 a une hauteur de 31.5 cm sur une largeur de 12.5 cm et une profondeur de 10.5 cm. On lit : « Ferdinand Philippe d’Orléans, Duc d’Orléans »,
« A. BARRE. F it 1843 ».
La marque de fondeur est à l’arrière « fte de Eck et Durand ». Cachet de fonderie illisible.
Elle est au Petit Palais, musée des Beaux-arts de la Ville de Paris.
12 janvier 2021 @ 17:55
En 1844 ce bronze est apparu dans le catalogue Susse (après cession des droits) édité en deux tailles, la plus grande étant de 48 cm et coulé par la fonderie Eck et Durand.
13 janvier 2021 @ 20:54
Ce qui explique les petits petons ,tout est en miniature .