Il y a des bulles qui racontent une histoire. Celle du Champagne Highgrove, cuvée exclusive née de l’union entre la maison Laurent-Perrier et la propriété royale de Highgrove, ne se contente pas de pétiller.
Elle incarne un art de vivre britannique empreint de raffinement, de tradition, et de responsabilité.
Tout commence à Highgrove House, résidence de campagne du roi Charles III, alors encore prince de Galles. Ce domaine verdoyant du Gloucestershire, entouré de jardins écologiques soigneusement entretenus, est devenu au fil des ans un symbole de son engagement pour l’environnement et l’artisanat de qualité.
C’est dans cet esprit qu’a été imaginée une cuvée capable de refléter les valeurs du lieu : exigence, authenticité, finesse. Et qui mieux que Laurent-Perrier, maison champenoise fondée en 1812, pouvait donner vie à ce projet ?
Une cuvée royale, mais sans ostentation. Pas question ici de produire un champagne ostentatoire ou marketing. Le Highgrove Cuvée Champagne est un assemblage subtil de Chardonnay, Pinot Noir et Pinot Meunier, à l’image de ce que Laurent-Perrier sait faire de mieux : une bulle fine, une bouche droite, des arômes nets, sans surcharge ni excès. Une élégance contenue, comme celle de son illustre commanditaire.
Servi lors de dîners caritatifs, d’événements à Highgrove, ou proposé en édition limitée via la boutique officielle du domaine, ce champagne est destiné aux amateurs éclairés, mais aussi aux partisans d’une consommation consciente.
Car au-delà du produit, tous les bénéfices tirés de sa vente sont reversés à la fondation du roi Charles III, soutenant l’artisanat, l’agriculture durable, ou encore la préservation du patrimoine.
Ce qui fascine dans cette cuvée, c’est sa double appartenance : elle mêle le terroir de Champagne, mondialement reconnu, à l’imaginaire royal britannique, tout aussi puissant.
Chaque bouteille arbore les armoiries de Highgrove, présentée dans un écrin sobre mais chic, parfois même dans une boîte en bois gravée. Le style Laurent-Perrier — précis, tendu, lumineux — se met ici au service d’un message plus large : celui d’un luxe éthique et discret.
Et dans un monde où le champagne est parfois galvaudé, entre étiquettes tapageuses et éditions bling-bling, le Highgrove Cuvée vient rappeler que le véritable prestige tient à la sincérité des choix. Il ne crie pas. Il chuchote. (Merci à Bertrand Meyer)
Régine ⋅ Actualité 2025, Angleterre, France, Gastronomie 12 Comments
19 juillet 2025 @ 05:18
It’s a sparkling wine dear, not a champagne!
19 juillet 2025 @ 06:38
Du Champagne Highgrove !!! Avec le rosé de la duchesse de Sussex et celui de Jazmin Grimaldi baptisé Monte Carlo, on a le must du glou-glou mercantile .
19 juillet 2025 @ 06:50
Je suppose que les plants de raisin d’où sortira ce champagne sont situés en Champagne, sinon ce ne serait pas un champagne.
Je suppose donc que la seule originalité de ce breuvage est l' »assemblage subtil de Chardonnay, Pinot Noir et Pinot Meunier » créé pour l’occasion.
Même si c’est pour la bonne cause, tout ça me paraît surtout une opération marketing…
19 juillet 2025 @ 07:20
Il y a des vignes à Highgrove?
Non?
C’est alors un champagne sur lequel on colle une étiquette racoleuse?
Sous couvert de verser le « bénéfice » de l’opération à des bonnes oeuvres…
La Fondation du Roi, celle qui donne des immeubles en location à des bonnes oeuvres qui payent des loyers élevés à ladite Fondation?
Rappelons ce qu’est un bénéfice: le prix de vente de la bouteille, moins les frais, dont le champagne à payer au producteur, la bouteille, le coffret, l’étiquette, les frais de marketing, peut-être aussi des royalties divers: utilisation de la marque Highgrove, d’une image particulière, etc. S’il reste quelques centimes pour la Fondation, ce sera bien.
Le site indique que ce champagne est parfait pour faire du kir, au prix de 41,95 €.
Et on découvre, sur le site de Highgrove, une boutique caverne d’Ali-baba, où des tas d’objet produits par des marques connues (par ex. Burburry) sont vendus sous un label « highgrove ».
Et on reproche à d’autres des activités commerciales…
19 juillet 2025 @ 07:44
Merci d’avoir précisé que tous les bénéfices de la vente sont reversés à la fondation du roi.
19 juillet 2025 @ 09:50
Ceci n’est pas du champagne!
Le champagne est une AOC strictement réservée à la région… de Champagne.
Les vignes étant en Angleterre, il s’agit de vin mousseux.
19 juillet 2025 @ 10:51
Sauf que ce est pas du champagne mais un vin pétillant probablement de qualité.
19 juillet 2025 @ 11:37
Et bla-bla-bla et bla-bla-bla …
19 juillet 2025 @ 14:26
Le champagne, un art de vivre britannique ? 🤔
En attendant on voit que déjà en tant que prince de Galles, Charles avait des projets, il ne se contentait pas de parader…
19 juillet 2025 @ 15:20
Le Roi continue de vendre de la vaisselle, du miel, des couverts, du vin, du champagne, des vêtements, liste non exhaustive, c’est respectable! Toujours riche!
Mais quand Meghan qui ne perçoit aucun centime de la couronne, doit vendre quelques petits objets, la meute est aux abois!
La meute hurle, crie au scandale. Ce n’est pas tres royal!
Vous aimez des femmes entretenues, pas des bosseuses.
Nombreuses ici, vivent la monarchie par procuration.
Elles ont rêvé de cette vie. Elles ont rêvé de rencontrer un prince, un duc, un comte, etc etc elles ont juste rencontré leurs voisins sans aucun titre de noblesse!
Elles sont devenues commentatrices de la vie de celles qui ont su se débrouiller pour entrer dans les lieux très fermés de la monarchie et de la royauté
19 juillet 2025 @ 16:14
Ce n’est pas du champagne, mais un vin pétillant (comme l’indique l’étiquette : sparkling wine).
L’appellation champagne reste réservée à la Champagne française …
19 juillet 2025 @ 16:53
Une belle idée cadeau ou à garder pour soi. Le packaging est sobre et chic.
Le contenu de la bouteille doit l’être aussi.
Au fait, quel est la prix de cet ensemble bouteille plus deux verres ?