Le prince Charles-Philippe d’Orléans, duc d’Anjou et son épouse la duchesse Diane de Cadaval ont accordé un long entretien au magazine “O Globo”. La duchesse de Cadaval évoque le palais familial d’Evora. Ce n’est qu’en 1990 que son défunt père prit la décision d’y installer la famille. Avant cela, Diane avait vécu en Suisse, à New York, à Paris et à Londres. C’est son oncle le comte Brandolini d’Adda qui avait évoqué cette perspective avec son père.

Depuis, la duchesse de Cadaval secondée par son époux, sa mère et sa soeur Alexandra, se démène pour mettre en valeur ce patrimoine historique avec l’organisation d’expositions ou encore du festival des musiques sacrées à Evora.

La duchesse évoque son mariage avec des réjouissances qui durèrent 3 jours en 2008 avec le prince Charles-Philippe d’Orléans, le tout avec 45 degrés.

Le couple a fait connaissance lors d’un voyage entre Paris et Londres où Diane travaillait alors pour Christie’s. On apprend que le duc d’Anjou travaille à présent pour la Fondation du Prince Albert II de Monaco.

Le duc et la duchesse se partagent entre leur résidence d’Estoril et le palais Cadaval. Ils ont pour rappel une fille la princesse Isabelle âgée de 8 ans, filleule du roi Felipe VI d’Espagne.

En 2011, lors de la visite du prince de Galles, ce dernier demanda au prince Charles-Philippe ce qu’on Orléans faisait au Portugal. Le prince ne sut que répondre.

La duchesse Diane qui affiche toujours un magnifique sourire, est déjà l’auteure de biographies historiques sur les reines de Portugal. Elle prépare un nouvel ouvrage.

La vie aux côtés du prince Charles-Philippe ne semble pas des plus “paisibles” comme le confie la duchesse Diane qui l’a accompagné au Rwanda, en Ethiopie, Cambodge, Tchernobyl ou encore en Côte d’Ivoire où ils avaient échappé à un attentat. Visiblement à chaque voyage, des incidents sont au programme comme lors de la visite d’un temple au Cambodge qui fut frappé quelques instants plus tard par la chute d’un arbre. (merci à Alberto)