Parution en anglais d’une biographie consacrée au grand-duc Michel de Russie (1878-1918), fils de l’empereur Alexandre III et frère de l’empereur Nicolas II. Ce dernier abdiqua en mars 1917 en faveur de son frère, qui refusa le trône.
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17 Comments
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5 octobre 2021 @ 05:53
Livre probablement fort intéressant.
5 octobre 2021 @ 07:41
1) Cela montre bien que l’exécution de la famille impériale a été soigneusement planifiée et on peut dire sans grand risque de se tromper qu’on y voit l’esprit machiavélique de Lenine et/ou de Trotski .
2) C’est lui le dernier empereur de Russie .
5 octobre 2021 @ 11:43
Ce n’est pas un scoop.
5 octobre 2021 @ 11:45
Non ,c est l oeuvre de Lenine,il voulait en finir avec les Romanov,c est bien lui qu a donne l ordre d executer la famille imperiale,car les troupes blanches approchaient pour liberer le tsar et toute sa famille.
Pour lui,la famille assassinee,le probleme etait regle.
Un monstre.
5 octobre 2021 @ 08:03
Le destin de la princesse Romnavskaya Brassova (1880-1952) et de son fils le comte George Brassov est vraiment triste aussi .
5 octobre 2021 @ 08:47
Intéressant avec beaucoup de détails tragiques !
5 octobre 2021 @ 09:50
Le Grand Duc Michel semble avoir été un bel homme.
Mais quel destin tragique; tout comme celui de son fils, décédé dans la vingtaine…
.
5 octobre 2021 @ 10:19
Son acceptation du trône aurait-elle sauvé la Russie de l’ordre bolchévique ?
5 octobre 2021 @ 11:27
Je ne crois pas.
La France et la Grande Bretagne lui aurait demandé de continuer la guerre, comme ils l’ont fait avec Kerenski, avec le même résultat militaire et donc les mêmes conséquences sociales
C’est probablement le motif de son refus.
Les 2 alliés ont une responsabilité dans le déclenchement des troubles urbains et des comités de soldats et marins dits « insurrection d’octobre ».
Ce n’est qu’une supposition.
Mais pouvait il succéder à son frère et le désavouer immédiatement ?
Il y aurait perdu l’Ukraine d’ailleurs, où l’Allemagne était déjà bien implantée, c’est à dire ressources agricoles et minières.
J’ai la mémoire floue, mais les Allemands sont partis d’Ukraine en 21.
Je pars vérifier des souvenirs qui viennent aussi de Boulgakov, et non des textes d’histoire.
5 octobre 2021 @ 11:42
Plutôt 1919.
1921 c’est peut être pour les Allemands plus au sud dans une région turque.
5 octobre 2021 @ 12:41
Je parle évidemment des Allemands présents dans la région depuis Catherine II qui avaient contré les Bolcheviks avec qui ils pouvaient.
5 octobre 2021 @ 11:35
Macha et Michka….ma petite-fille adore….😂
5 octobre 2021 @ 11:48
Michka en langue slave veut dire souris,Kalinka coccinelle,Maya levain.
5 octobre 2021 @ 13:58
J’ai également pensé à Macha et Michka en voyant cet article 😅
5 octobre 2021 @ 12:55
La sœur qui le précédait, Xénia (1875-1960), évoquée dans une autre rubrique, était la mère d’une unique fille Irina (aînée de sa fratrie avec 6 frères), épouse du prince Felix Youssoupov.
Outre son frère aîné Nicholas II (1868-1918), dernier tsar de Russie, la fratrie de « Misha » comptait 2 autres garçons Alexander (1869-1871) décédé d’un méningite à l’âge de 11 mois et George (1871-1899) mort de la tuberculose, et une autre fille Olga (1882-1960), qui était la benjamine.
http://www.noblesseetroyautes.com/portrait-grande-duchesse-xenia-alexandrovna-de-russie-1875-1960/
http://www.noblesseetroyautes.com/portrait-grande-duchesse-olga-alexandrovna-de-russie-1882-1960/
6 octobre 2021 @ 09:28
Natalia Cheremetevskya (1880-1952) se maria en premières noces, en 1902, à Sergueï Mamontov (divorcés en 1905), en secondes noces, en 1905, à Vladimir von Wulfert (divorcés en 1910). Elle épousa le grand-duc Michel Romanov, discrètement à l’église orthodoxe serbe de Vienne, le 29 octobre 1912, dont deux enfants, Georges (1910-1931) et Pilar (1919-1920).
Elle mourra dans une grande pauvreté à l’hôpital Laënnec à Paris et sera inhumée au cimetière de Passy.
6 octobre 2021 @ 10:30
On peut rappeler l’excellent livre de Rosemary et Donald Crawford, traduit de l’anglais par Pierre Lorain, Michel et Natacha, Vie et amour du dernier Tsar de Russie, qui parut à la fin de l’année 2000, un ouvrage très dense de 542 pages (Éditions des Syrtes).
Notons également une chronique ici même le 24 février 2011 détaillée et illustrée grâce à Damien B.