Parution le 7 octobre prochain aux éditions du Chêne de ce beau livre qui vous transporte dans la maison de Monet à Giverny. Claude Monet et sa femme Alice s’y installent définitivement en 1883 avec leurs huit enfants.
De nombreux amis dont Clémenceau, Edmond de Polignac, Renoir ou Cézanne viennent y déjeuner. Le peintre s’attachera toujours à créer un cadre de vie harmonieux et à offrir à ses hôtes ses mets d’une très grande qualité. En 1989, les éditions du Chêne avaient d’ailleurs publié ses carnets de cuisine. Cet album est différent mais reconstitue dans le détail un style de vie qui nous fascine.
« Recevoir selon Monet. Les recettes d’un maître », textes de Florence Genter, photos de Francis Hammond, Editions du Chêne, 2015
17 septembre 2015 @ 04:44
Merci et intéressant !
Giverny est un endroit sublime!
17 septembre 2015 @ 06:40
Bonjour,
Les couleurs de la couverture du livre sont très attrayantes.
17 septembre 2015 @ 07:18
Monet vu sous un autre angle ?
17 septembre 2015 @ 07:40
je veux bien être l’élève.
17 septembre 2015 @ 09:43
C’est toujours avec le même plaisir que j’utilise le service « Monet » – également appelé « Giverny » – de chez « Robert Haviland & C Parlon » (c’est du Limoges !) avec un fond blanc, un bord jaune et une petite bordure bleue.
C’est une merveille de raffinement et de simplicité rustique.
Je regarderai les recettes avec curiosité.
17 septembre 2015 @ 12:20
Je suppose que vous utilisez le Haviland en hommage aussi à votre ami Jacques Chardonne, membre de cette famille.
18 septembre 2015 @ 18:48
Je connais le service dont vous parlez. En effet, couleurs fraîches, décor sobre, qui s’adapte à tous les styles, mais belle porcelaine.
Dommage que les arts de la table français soient de plus en plus remisés.
17 septembre 2015 @ 11:06
J’adooooooooooore cette pièce-soleil typiquement campagnarde comme beaucoup d’entre vous,n’est-ce-pas?
Que c’est magnifique,le balcon donnant sur la verdure!
17 septembre 2015 @ 12:14
Cette pièce est loin d’être typiquement campagnarde, et je sais de quoi je parle
17 septembre 2015 @ 14:15
Il devait y avoir de la vie dans cette maison! FdC
17 septembre 2015 @ 14:47
Moi c’est toute l’œuvre de Monet que J’adore.
17 septembre 2015 @ 16:01
J’ai visité cette maison et le jardin bien sûr mais j’ai mal choisi la saison, l’été où le fleurissement n’était plus aussi abondant ! J’ai été déçue de voir surtout des « japonaiseries » accrochées aux murs et peu de copies de tableaux de ce grand impressionniste que j’adore ! bianca
20 septembre 2015 @ 06:28
Bianca, quand on visite Giverny, on visite la maison de Monet telle qu’elle était de son vivant, or Monet n’a jamais décoré les murs de sa maison avec ses œuvres mais avec des estampes japonaises qu’il collectionnait . Rien que dans sa salle à manger, présentée ici en photo, il y en avait 56 ! Après la mort de son père, le fils de Monet a laissé la maison en l’état avant de la léguer à l’Académie des Beaux Arts . C’est grâce à ce legs que la collection de 231 estampes, dont certaines sont signées de grands maîtres du genre tels que Hiroshige et Hokusai, n’a jamais été dispersée . Bon dimanche.
17 septembre 2015 @ 20:55
Habiter dans un tableau, ce doit être quelque chose !
18 septembre 2015 @ 14:33
Il avait déjà été publié un livre sur la cuisine chez Monet, et il me semble bien que c’était déjà aux Ed. du Chêne. A vérifier.
Il comportait des copies du livre de recettes de la gouvernante-cuisinière de Monet. Des grands classiques, souvent simples, de la cuisine de notre (?) enfance.
C’est Monet lui-même qui avait conçu et son jardin, et l’intérieur de la maison.
Campagnarde, la maison ? En effet, non. Une maison bourgeoise à la campagne, ça, oui.