Le potage Germiny fut créé en 1869 par le cuisinier Adolphe Dugléré. Il doit son nom au comte Germiny qui était alors gouverneur de la Banque de France. Ce potage se compose de consommé de bœuf, de jaunes d’œufs, de crème fraîche, de beurre, de quelques fins morceaux de cerfeuil amis surtout d’oseille. Il a refait son apparition dans les menus des restaurants étoilés, l’oseille étant revenue à la mode.
3 octobre 2015 @ 07:07
Ce potage me semble réservé aux professionnels car il n’est pas facile à faire.
Peut-être aurons-nous des témoignages d’internautes sur ce sujet..
En revanche, dans le genre « potage de palace » la « vichyssoise » est très simple à réaliser. Et c’est un délice.
3 octobre 2015 @ 07:20
En période de crise, il est normal que l’oseille soit prisée.
3 octobre 2015 @ 08:27
Ah, l’oseille !!!!
Je ne parle pas de celui des truands à la manque chers à Audiard, mais de cette soupe au goût un peu amer adouci par la crème fraîche que je mangeais chez ma grand-mère dans mon enfance … Ca me donne envie d’en remanger !
3 octobre 2015 @ 10:05
Bon potage à l’oseille, le favori des Orléans (excusez-moi, je n’ai pas pu m’en empêcher)…
3 octobre 2015 @ 10:21
tant mieux si l’oseille est revenue à la mode. Mais où la trouver ?
3 octobre 2015 @ 16:53
On en trouve très souvent sur les marchés, mais elle pousse aussi très bien dans une balconnière, tout comme la ciboulette.
4 octobre 2015 @ 05:39
merci Antoine. Je vais pouvoir refaire une de mes entrées préférées : les tartelettes épinards – oseille -St Jacques.
3 octobre 2015 @ 12:07
Il y a un classique potage de cerfeuil en Belgique, heel goed.
4 octobre 2015 @ 18:25
Chez nous, il est d’habitude de parsemer du cerfeuil ciselé sur le consommé du pot-au-feu.
5 octobre 2015 @ 04:15
J’ignorais que ça s’appelait « Potage Germiny » mais j’ai mangé ça très souvent dans mon enfance et on appelait ça la « soupe à l’oseille » (consommé de bœuf, oseille, crème et un peu de cerfeuil); j’ignore si ma mère mettait des jaunes d’oeuf mais je vais le lui demander car elle a une mémoire d’éléphant. J’adorais ce petit goût un peu suret. FdC