L’hôtel Dorchester à Londres appartient au sultan de Bruneï. Ici, on ne mégote pas sur les décorations au moment des fêtes. L’hôtel tout entier est au diapason et sent bon le sapin. « Merry Christmas » est toutes les lèvres. (Merci à Bertrand Meyer)
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19 décembre 2020 @ 02:03
Je suis mitigée .
Trop de décorations entre les tables ,ah c’est sur ! Il respecte bien la distance.
L’ arbre ? Non pas spécialement de mon goût ! Pas une bonne disposition non plu ….
19 décembre 2020 @ 09:54
Effectivement l’on ne mégote pas (rire) sur la décoration de Noël mais bon c’est chaleureux toutefois .
19 décembre 2020 @ 10:31
A force de boules, on ne voit plus le sapin.
Maintenant que nous voilà de retour en Alsace après déconfinement , mon Cher-et-Tendre, pourtant pas alsako d’origine, est allé sans discontinuer accomplir sa tâche de père de la maisonnée : acheter le sapin. LE sapin. Choisi.
Il y est allé avec le diable. ;-)
21 décembre 2020 @ 16:33
Monseigneur Lustiger racontait l’histoire suivante : il descendait d’un train , lourdement chargé de plusieurs valises , et un porteur lui a dit : attendez , je vais chercher le diable !
19 décembre 2020 @ 10:35
J’aimerais bien que vous nous racontiez ici vos histoires de sapin, vos histoires vécues. Il y en a certainement de toutes les sortes. De drôles, de difficiles, d’émouvantes, et d’autres.
Ca serait sûrement au moins aussi bien (*) que les photos des pauvres sapins des grands hôtels, qui, pour être surchargés d’ornements, n’en sont pas moins dépourvus d’amour .
On y va ? Qui commence ?
(*) Ce n’est en rien une critique de la série » Sapins » que nous offre Dame Régine. Au contraire .
19 décembre 2020 @ 16:36
Ah non merci je viens d’en conter une petite sur une pauvre guirlande échappée des bombardements . Ca va comme ça – Mais en revanche , j’apprécie que les autres le fassent elles ne seront sans doute pas égratignées . En tous les cas je lirai avec plaisir . Ce sera surement agréable .
19 décembre 2020 @ 19:21
Mon premier sapin , Léonor . Dans ma famille maternelle , on préparait la crèche , on allait à la messe de minuit , mais on ne faisait pas de sapin , ce n’était pas encore entré dans les moeurs .
Mais mon père , qui avait une double culture du Nord et de l’Est de l’Europe , décida que j’aurais un sapin . J’avais deux ans .
Pas encore de décorations , en ce temps-là : le sapin au naturel avec le longues bandes de coton pour figurer la neige et des » étincelles » à faire briller au bout de leur baguette .
J’avais deux ans , le demi-siècle venait de commencer , et c’était mon premier sapin . Inoubliable .
20 décembre 2020 @ 21:49
Ah, les jolies baguettes à étincelles : les Sternerèje = pluies d’étoiles . Un condensé de magie de Noël pour les enfants .
19 décembre 2020 @ 10:48
Tous ces lieux entrouvriront à peine leurs portes (du 23 au 27 Décembre) puisque Londres est passé en zone 3 d’alerte au virus. Un « Merry Christmas » sur les lèvres peut-être, mais avec un sacré goût d’amertume pour tous ces palaces.
19 décembre 2020 @ 12:26
L’hôtel sent le sapin ? Voilà qui augure mal de l’avenir.
19 décembre 2020 @ 13:19
N’ayant pas les moyens du Dorchester, cela m’évite d’avoir un cas de conscience. Je n’ai pas à me poser la question si je dois ou non soutenir le tyran du Brunei. Et si j’avais l’argent, ce serait non.
19 décembre 2020 @ 18:02
Fournir du riz gratuitement au peuple contribue largement à faire oublier l’autocratie ! non ?
Bon dimanche Cosmo.
20 décembre 2020 @ 12:34
J’ignorais que le sultan du Bruneï fut un philanthrope…mais si le peuple refuse la charia, une fois le ventre plein de riz, qu’arrive-t-il ?
Bon dimanche à vous aussi, Charlotte
19 décembre 2020 @ 14:44
Une belle décoration avec de vrais sapins.
Hier, j’ai été très étonnée que dans un quartier chic de Paris, les sapins étaient artificiels, comme l’année dernière, restriction de budget ?
19 décembre 2020 @ 15:10
Très belles décorations en effet . Mais le propriétaire me fait fuir !
20 décembre 2020 @ 18:31
Muscate, commentaire mal placé, mais je ne retrouve plus le vôtre ou vous parliez de ce livre sur l’histoire du sapin qui voulait être un sapin de Noël. L’un des contes de Noël le plus triste de mon enfance, superbe petit livre aux dessins délicats. J’ai depuis ce temps cherché des alternatives. Dans mon quartier nous décorons nos arbres à l’extérieur, et nos sapins argentés brillent de tous leurs feux sans avoir à payer de leur vie.