Le livre sortira au printemps prochain: « Loulou & Yves » sous la plume de Christopher Petkanas. Il reviendra sur l’amitié et la collaboration d’Yves Saint Laurent avec son égérie Loulou de la Falaise. Une amitié faite de travail, mais aussi de fêtes et de fous rires qui commença en 1968.
Loulou de la Falaise était une femme unique, qu’aucun romancier n’aurait osé inventer tant elle était riche, complexe, magique. Avec son pedigree aristocratique (sa mère Maxime avait épousé le comte Alain de la Falaise) était une tornade d’audace qui libéra le couturier de ses préventions bourgeoises. Elle devint la directrice du département des accessoires, bijoux et chapeaux de la maison Saint Laurent. Et lorsque Saint Laurent se retira, elle créa sa propre griffe. Elle est morte le 5 novembre 2011.
28 octobre 2017 @ 08:13
L’Eternel féminin, une femme superbe, intelligente et libre, un être rare ! Merci Régine.
28 octobre 2017 @ 08:54
Superbe femme avec une classe folle.!
28 octobre 2017 @ 20:39
Absolument ! ;))
28 octobre 2017 @ 09:41
La grande classe cette femme !
28 octobre 2017 @ 09:41
J’aime beaucoup la coiffure « à l’ancienne » de la première photo. beau visage ! Bonne journée à tous. HL
29 octobre 2017 @ 23:15
C’est ce qui m’a séduite en premier aussi.
28 octobre 2017 @ 10:24
La première photo me fait penser à une photo de Chanel par Horst pour le magasine Vogue en 1954 .
29 octobre 2017 @ 17:26
Effectivement, cette pose me rappelait quelqu’un . HL
28 octobre 2017 @ 11:06
Quelle belle femme !
Ah, Yves Saint Laurent savait magnifier les femmes !
Il ne les a jamais habillées en loques.
28 octobre 2017 @ 14:53
Si j’étais un homme,je serais charmé par cette beauté aiguë,pleine de vie et de classe,dont Inès de la Fressange aurait pu être un pâle reflet,si elle avait eu « l’étincelle ». Le truc en plus qui apparaît comme une évidence sur la première photo.
28 octobre 2017 @ 15:26
Oui mais ô combien triste fin pour cette femme resplendissante!
Après avoir eu le monde à ses pieds, la « cigale » mourut à 64 ans, isolée dans sa maison de Normandie, prématurément usée par une vie où elle ne compta pas ses plaisirs…
29 octobre 2017 @ 15:58
« le monde à ses pieds »… quel monde ? Un monde de gens snobs, creux, superficiels ? Quand on finit sa vie isolé, c’est qu’on n’a pas fréquenté dans ce monde-là l’amitié vraie et les vrais amis.
29 octobre 2017 @ 23:16
C’est mieux quand c’est court et intense…;-))
30 octobre 2017 @ 21:29
Tout dépend ce que vous appelez isolée. Cette femme extravagante et d’une classe folle n’était pas seule, elle était l’épouse du fils de Balthus, Thadée Klossowski de Rola et elle avait une fille. Elle adorait sa maison, son jardin et sa famille et même si elle a mené à une époque une vie folle avec Yves SL, elle était plus raisonnable dans ses excès que lui et Betty Catroux. Voilà d’ailleurs ce que cette dernière en a dit : « Je culpabilise car c’est elle qui est partie et pas moi, c’est très injuste. Elle était très équilibrée dans ses folies, Loulou, ce que nous n’étions pas, Yves et moi. Elle savait tout faire bien, et nous tout mal, on se tenait comme des animaux ! Toutes les bêtises qu’on a faites, boire et le reste, elle les faisait avec tenue. On était les meilleures amies du monde, alors que l’on était tout le contraire l’une de l’autre ».
29 octobre 2017 @ 21:07
L’actrice Sylvia Cristel ( héroïne d’Emmanuelle) avait un petit air de Loulou….Loulou a au moins croqué la vie à pleine dents et vécu à cent pour cent c’est un choix qu’elle a assumé jusqu’au bout.