C’est l’heure du petit-déjeuner. Ici, depuis l’une des chambres du palace parisien Shangri La (ancienne résidence du prince Roland Bonaparte) avec vue sur la Tour Eiffel.
Petit-déjeuner au Shangri La à Paris
28 Comments
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4 octobre 2020 @ 07:31
Mmmmm 😋… Ça me donne envie d’y aller !!!! 🥐🥐🍯☕
4 octobre 2020 @ 09:13
Un hôtel,c’est toujours inconfortable et impersonnel.Même aussi joli que là…on n’est pas chez soi.
Tout ce qui est lié au voyage me donne de l’urticaire.Gares,aéroports,bateaux,autoroutes.
Traumatisée par les innombrables aller-retour France-Liban que j’ai du me coltiner à mon corps défendant.C’était notre seule destination de villégiature… »on va au Liban pour voir mes enfants… « 🤮…et maintenant,il me repropose les vacances en France « pour voir les enfants « 🤢.
Ben je suis mieux chez moi.
4 octobre 2020 @ 12:26
Pareil. Il y a des gens qui disent aimer vivre à l’hotel et s’y sentir bien.
Moi pas. Je n’ai jamais réussi à me considérer comme chez moi à l’hôtel.
4 octobre 2020 @ 12:44
Vos problèmes personnels étalés ici, c’est indécent et on s’en « tape le coquillard » ! Mais que ça fait ordinaire ….!!!
5 octobre 2020 @ 12:22
On ne fait pas plus aimable …
6 octobre 2020 @ 15:52
Y’a d’l’ambiance ! 😀
5 octobre 2020 @ 13:32
Vous êtes d’une agressivité indécente En visite …
5 octobre 2020 @ 14:31
Et garder un chien de sa chienne à quelqu’un juste parce que cette personne n’est pas d’accord avec vous et surtout ose vous l’écrire, n’est-ce pas plus qu’ordinaire ?!
J’ai de très grands parapluies ☔
5 octobre 2020 @ 16:42
Hahaha ‘ on s’en tape le coquillard’ qu’est-ce que c’est que cette expression de beauf ! Un coquillard ?? qu’est-ce c’est ?? Je suis allée voir sur google dico Oh my gooooooooood… Impossible à dire ici 🤣🤣🤣
Bref, j’espère que votre coquillard n’a aucun souci de… euh… que dire…pff…
5 octobre 2020 @ 18:50
Vous avez raison…je suis d’accord avec vous.
4 octobre 2020 @ 12:52
… Mais je veux bien aussi partager ce petit-déjeuner chez vous… 😉 Ça me tente tout autant 🤣🤣
5 octobre 2020 @ 18:51
Come on!😁😘
4 octobre 2020 @ 13:32
Ah! Muscate…⭐️
Ne soyons pas égoïstes, pourquoi serions-nous les seuls à savourer ces tranches de vie naturalistes, si pertinentes, si réalistes.
Cela mériterait d’être enrichi, agrémenté, un peu brodé et j’en suis certain promesse d’un futur succès de librairie.
C’est dimanche, tout est permis…
À l’ombre du citronnier, 28 degrés. Comment imaginer le drame que vivent les habitants de l’arrière pays niçois.
5 octobre 2020 @ 18:52
Effectivement,cher Hadrien-Marie,j’ai vu et ça fait mal.😘
4 octobre 2020 @ 17:36
Prudence.
4 octobre 2020 @ 19:54
Tu veux dire au Liban , malgré les événements actuels ? Il est vrai que tu es la créatrice d’un magnifique jardin , et que tu es responsable de tous tes animaux .Quand nous nous sommes connues , tu avais quatre chats et deux perroquets .Il semble que tu en aies adopté bien davantage . Une caresse pour chacun !
5 octobre 2020 @ 18:53
Merci ma douce…😘
4 octobre 2020 @ 12:14
Un bon petit déjeuner avec espérons, une vue ensoleillée sur la Tour Eiffel.
4 octobre 2020 @ 12:45
Belle table et beau point de vue. ça donne envie. A défaut d’aller dans cet hôtel, de le reconstituer chez soi, au moins pour le menu !
8 octobre 2020 @ 18:36
Ne m’invitez pas .
4 octobre 2020 @ 13:08
Ça me donne vraiment envie même si je viens de finir de déjeuner ; je trouverais bien une petite place pour grappiller !
4 octobre 2020 @ 13:12
Pour un événement d’exception: La Bauhinia du Shangri-La.
Brunch ultra-raffiné franco-asiatique, prix élevé mais somptueux.
Un moment hors du temps…
4 octobre 2020 @ 16:56
Vue imprenable…petit-déjeuner qui ne casse pas trois pattes à un canard…
5 octobre 2020 @ 11:49
ben oui, on déguste, on savoure la vue.
5 octobre 2020 @ 10:00
Cette table de petit déjeuner est dressée pour combien de personne? Apparemment 2… à mon avis. Si on considère que les normes HACCP interdisent tout retour en cuisine de ce qui restera à la fin du petit déjeuner ( même si rien n’a été touché ), ça fait un sacré gaspillage.. cela dit, cette table avec vue est très tentante .
5 octobre 2020 @ 16:40
En visite, vous êtes souvent odieuse mais là, vous dépassez les bornes avec Muscate. Et surtout, n’oubliez pas de vous exprimer à la première personne du singulier et non à celle du pluriel…please.
Vous êtes une pro, parait-il…mais de quoi ? de la gentillesse, de la courtoisie ? de la bienveillance ?
5 octobre 2020 @ 16:49
Mais c’est que j’ai tant aimé voyager , à mes risques et périls parfois mais j’ai un tas de souvenirs absolument réconfortants , j’ai une mémoire assez intense et donc je me remémore mes voyages . Chez l’habitant quand j’ai pu le faire . Dans des grands hôtels et parfois dans des situations inconfortables comme dans l’ex Yougoslavie où pris dans un feu de forêt tournant nous avons bien failli n’en pas réchapper . Sauvés par un groupe équivalent à nos pompiers mais mal équipés et amenés manu militari dans un « camping » complète horreur à 2 Heures du matin où il a fallu remplir un questionnaire interminable . Nous avons préféré dormir dans la voiture et partir aux aurores. etc….
Maintenant , nos équipées sont modestes mais nous nous sommes calmés l’âge étant là .il y a un texte d’un homme de la mer , un vrai marin qui s’incline (j’en connais peu qui ont ce respect ) devant les marins de l’Iroise.
++++++++
Le jour où je vais disparaître, j’aurai été poli avec la vie car je l’aurai bien aimée et beaucoup respectée. Je n’ai jamais considéré comme chose négligeable l’odeur des lilas, le bruit du vent dans les feuilles, le bruit du ressac sur le sable lorsque la mer est calme, le clapotis. Tous ces moments que nous donne la nature, je les ai aimés, chéris, choyés. Je suis poli, voilà. Ils font partie de mes promenades et de mes étonnements heureux sans cesse renouvelés. Le passé c’est bien, mais l’exaltation du présent, c’est une façon de se tenir, un devoir.
Dans notre civilisation, on maltraite le présent, on est sans cesse tendu vers ce que l’on voudrait avoir, on ne s’émerveille plus de ce que l’on a. On se plaint de ce que l’on voudrait avoir. Drôle de mentalité! Se contenter, ce n’est pas péjoratif. Revenir au bonheur de ce que l’on a, c’est un savoir vivre. »
Olivier de Kersauson
Ce gaillard d’un humour féroce , imitateur d’une drôlerie irrésistible du parler et des coutumes de son lieu de naissance est un monument .
Parti faire le tour du monde mécréant revenu profondément croyant , il a un mot que j’aime beaucoup
en mer le seul langage universel est …. le silence .
5 octobre 2020 @ 20:00
L’hôtel du prince a été surélevé dans le respect de son architecture d’origine et j’imagine que la vue était différente dès lors du temps de Roland Bonaparte.